La chambre d’accusation dispose de vingt et un jours pour examiner l’appel formulé par l’écrivain, arrêté mi-novembre et placé en détention en vertu d’un article du code pénal algérien réprimant les atteintes à la sûreté de l’Etat, selon sa défense.L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, à Berlin, le 9 février 2012.