L’athlète, tout comme la boxeuse algérienne Imane Khelif, également sacrée championne olympique à Paris, avait été la cible d’une campagne de haine sur fond de différend entre le Comité international olympique et la Fédération internationale de boxe.Lin Yu-ting, de Taïwan, lors du quart de finale de boxe féminine des 57 kg pendant les Jeux olympiques de Paris, à Villepinte, le 4 août 2024.