Le Français est accusé d’avoir voulu tirer profit d’une demande de rançon formulée par le gang de cybercriminels Everest, dans le cadre d’une fuite de données liées à l’instruction de l’attentat de « Charlie Hebdo ». Cinq ans de prison, dont une partie assortie de sursis, ont été requis.Florent Curtet à la Défense, le 17 mars 2024.