Bien que la loi présume l’existence d’un contrat de travail dans la relation entre une entreprise de presse et ses journalistes précaires, ceux du média en ligne féminin et féministe, officiellement « en pause », attendent toujours d’être reconnus dans leur droit.
Les pigistes de « Madmoizelle » réclament toujours leur licenciement
Scritto il 21/05/2025
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